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Mal de dos information

Raisons du mal de dos

On parle de mal de dos persistant lorsque la douleur dure depuis plus de 7 à 12 semaines alors que l'on parle de mal de dos permanent ou chronique lorsque la douleur dure depuis plus de 12 semaines, qu'elle est quasi-journalière et qu'elle n'a pas tendance à s'améliorer
Les raisons du mal de dos

L'anatomie du dos est complexe, tous les éléments peuvent intervenir dans la douleur

Si on décide de consulter, les spécialistes sont nombreux et il est important de savoir faire le tri

Le traitement du mal de dos n'est pas unique. Il varie en fonction des causes

Vous devez apprendre à éviter les traumatismes ou à ne pas aggraver une situation déjà installée

Le mal de dos permanent est lié à l'état de la colonne vertébrale et des muscles mais aussi souvent à des facteurs d'ordre psychologique, professionnel ou personnel.
Lorsque l'on a mal de façon chronique et persistante, il y a en général plusieurs causes intriquées et le traitement devra les prendre en compte.
En dehors de ces douleurs soudaines rapidement éliminées par quelques mouvements bien adaptés ou, au pire des cas, après une visite chez votre thérapeute, la plupart des douleurs rachidiennes chroniques et lancinantes apparaissent insidieusement et sont le résultat d'erreurs quotidiennement répétées.
Viennent s'y ajouter :
  • Les douleurs dues à un état physiologique comme la grossesse ; durant cette période, certains mouvements sont à faire chaque jour de façon à ne pas souffrir du dos.
  • Les douleurs dues à des malformations congénitales sont rares, mais il est difficile d'y remédier.
  • Les douleurs dues à des anomalies de courbures. Dans ce cas, certains mouvements seront d'une aide précieuse.

À chaque douleur correspond une cause spécifique devant être mise en évidence par le thérapeute avant toute prescription.

Affections de la colonne vertebrale
Certaines sont bénignes ; d'autres, beaucoup plus graves. Aussi, ne laissez pas courir vos douleurs en pensant que cela finira bien par passer ! Faites établir un diagnostic complet et précis. Parmi les maladies pouvant entraîner de réelles douleurs, citons les suivantes.

  • L'arthrose
  • L'arthrite
  • L'ostéochondrite
  • L'ostéomalacie
  • L'ostéoporose
  • Ostéite déformante (maladie de Paget)
  • La spina-bifida
  • La spondylarthrite ankylosante
  • Tuberculose vertébrale

Chocs psychologiques
Une peur, une forte contrariété agissent automatiquement sur notre équilibre physiologique. Les répercussions se font sentir sur l'ensemble de nos systèmes avec comme résultat des spasmes musculaires douloureux qu'il convient de traiter au plus vite.

Hypercyphose, hyperlordose et scoliose
Ces déviations du rachis ne sont pas congénitales mais peuvent apparaître dans les toutes premières années de l'enfance.

  • L'hypercyphose
  • L'hyperlordose lombaire
  • La scoliose

Deformations congenitales
Bien souvent, seule la chirurgie apporte une amélioration.

La grossesse

Le manque d'exercice physique

Une surcharge ponderale

Le stress et le psychisme

Et les traumatismes divers
Ne parlons pas ici des gros chocs tels qu'accidents graves de la circulation ou du travail, pour lesquels, en revanche, tous les chocs que l'on peut qualifier de secondaires trouvent ici leur place.
Une entorse, une foulure, une mauvaise chute, un accouchement difficile, un effort mal contrôlé, le "coup du lapin», des attitudes non adaptées, une hernie discale s'accompagnent de multiples douleurs plus ou moins intenses pouvant avoir un retentissement au niveau dorsal et lombaire.
Les causes doivent être déterminées avant de mettre en place un programme de soins adapté, qu'il sera bon d'accompagner de mouvements spécifiques.
Cette liste ne se veut pas exhaustive.
Elle doit, en revanche, vous inciter à la prudence et surtout à ne pas sous-estimer la moindre douleur dorsale. Une douleur, nous le répétons, n'est jamais anodine et doit toujours nous inciter à en rechercher la cause.

En cas de douleur subite, interrompez aussitôt votre activité et allongez-vous sur le sol ou sur un lit, même si vous devez ramper pour l'atteindre (évitez toutefois de le faire si vos jambes sont devenues insensibles, à la suite d'une chute, d'un accident ou d'un choc brutal).
En position allongée, la pression qui s'exerce sur la colonne vertébrale est quatre fois moins importante qu'en station debout, ce qui peut soulager la douleur et permettre aux muscles de se décontracter.
Vous améliorerez la situation si vous vous relaxez, c'est pourquoi vous ne devez pas vous inquiéter à propos de ce que vous étiez en train de faire : cela attendra.

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